Mon Ambilight maison (lourd)

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Mon Ambilight maison (lourd)

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Non pas que je sois sans (quoi que) mais j’ai construis toute mon installation autour du halo lumineux qui est de conception native sur ma télévision Philips.

Mod /je_raconte_ma_vie
Seulement, les composant ou je ne sais quoi, sont tellement de bonne facture chez ce fabriquant que le système tombe en panne moins d’un an après sa sortie du carton. J’en suis à ma seconde télé et j’ai déjà tout changé : la carte d’extension ainsi que la carte mère. Rien n’y fait, le système est défaillant et impossible à utiliser.

J’avais déjà repéré quelques idées/tutoriels sur Youtube (lien 1, lien 2, lien 3) pour fabriquer mon propre système et voilà que je vous donne les différentes étapes vue de ma personne à savoir : un débutant de première surtout en matière de mini-ordinateur (Raspberry).
Cerise Framboise sur le gâteau, la conception « maison » devrait offrir une immersion plus intéressante d’après cette vidéo.

Pour un démarrage sommaire sur votre Raspberry PI (modèle 2B pour ma part) vous pouvez consulter mon précédent article.
Ici je détaille ce qui fonctionne pas-à-pas.

0/ Le prélude :

  • Mon installation ne doit concerner que l’effet « Ambilight ». Je me fiche pour le moment du coté « Media-center » et autre fioritures qui peuvent m’apporter les bien-faits du Raspberry PI.
    Par la suite je verrais si je change d’avis mais c’est vraiment accessoire.
  • Pour commencer, ma télé se trouve au rez-de-chaussé dans le salon, loin de la box (donc pas de câble Ethernet de disponible) et mon PC lui se trouve à l’étage. Il faudra donc prévoir une connection WiFi tôt ou tard. Pour débuter, un câble Ethernet (droit) est obligatoire.
  • Pas de clavier ni d’écran au démarrage. Les diverses manipulations informatiques devrons se faire en ligne de commande pour toute la durée de préparation du projet.
  • Le futur système d’exploitation (Rasbian) sera une version « Lite » car je n’ai pas besoin de quelque chose de hyper complet et lourd.
  • Je ne veux ajouter qu’un seul nouveau fil électrique pour relier le boitier le boitier RPI au système Ambilight.
  • Mon PC est sous Windows Seven (pas de mise à jour par packs-machin-trucs).
  • Ma box internet est une Freebox v6
Références :
  • Je vais suivre les explications provenant de ce tutoriel [En] mais aussi regarder ceci [En], ou encore cela [En]
Budget :

Oui parceque quand même il faut prévoir à l’avance ce genre de chose donc j’ai utilisé les matériels suivants :

  • Raspberry Pi avec son boitier (Amazon – 45,99€)
  • Carte mémoire SD (Amazon – 7,65€)
  • Clé WiFi en USB (Amazon – 13€)
  • Ruban à LEDs WS2801 x2 (Amazon – 33,76€)
  • Fils électrique souple 22AWG (Amazon – 17,99€)
  • Gaine thermorétractable (Amazon – 7,99€)
  • Cavaliers pour broches PCB 2.54mm (Amazon – 4,29€)
  • Alimentation 5v conséquente (Amazon – 16,99€)
  • Splitter HDMI (Amazon – 16,99€)
  • Convertisseur HDMI vers RCA (Amazon – 13,99€)
  • Grabber USB chipset UTV007 (Amazon – 14,69€)
  • Câble HDMI x2 (Amazon – 15,20€)
  • Câble RCA mâle-mâle (Amazon – 8,47€)
  • HUB USB (optionnel mais pratique) (Amazon – 15€)
  • Fils électrique gainé RGB (Amazon – 10,99€)

Soit un total de 242,99€ !
Oui quand même… Mais certaines choses vous resserviront plus tard pour d’autres projets.

[su_service title= »Remarque » icon= »icon: lightbulb-o » icon_color= »#3c3c3c » class= »su-service-title_remarque »]> Certains produits peuvent être trouvée via la boutique : kubii.fr[/su_service]

1/ Première phase : bidouillage informatique.

Inutile d’aller trop loin dans le projet en achetant tout le matériel si informatiquement vous n’arrivez pas à vos fins. Autant le bricolage c’est « facile » que la partie programmation c’est autre chose.
Nous nous assurons tout simplement que les logiciels et le présent guide que vous êtes en train de lire, fonctionne toujours ! Les logiciels évoluent et ce qui est vrai à l’écriture de cet article ne l’est pas toujours le lendemain.
Croyez moi j’étais parti sur une autre base avant de me rendre compte que… je devais changer mon fusil d’épaule !!!

1.0.1/ Au niveau du matériel il vous faut donc:

  • Un boitier Raspberry PI. « Normalement » ça doit fonctionner avec toutes les versions mais moi j’utilise pour un RPI 2B que l’on m’a gentillement offert.
  • Son alimentation électrique qui va bien.
    Au départ j’utilisais simplement l’alimentation éléctrique (5v) provenant d’un prise USB tierce, mais j’obtenais des problèmes. Donc un bloc dédié est une solution qui fonctionne mieux.
  • Carte mémoire (1Go minimum)
  • Câble ethernet droit

En supplément on peut facilement ajouter :

  • Coque de protection pour le boitier (il faudra bien le stocker et le protéger quelque part !).
    • Clé WiFi USB (dongle), je note que c’est facultatif car vous pourriez vous en passer si votre RPI est relié par Ethernet à votre box.

1.0.2/ Au niveau des logiciels il vous faut donc:

  • Choix de l’image Raspbian

     

     

     

     

    Le système d’exploitation.
    J’ai opté pour Raspbian (Lite) car c’est suffisant et je n’ai pas besoin d’autre chose.

  • Pour communiquer entre votre PC et votre RPI, on peut rester dans un environnement Windows si vous avez une version récente.
    • Si vous désirez poursuivre avec uniquement votre Windows, lisez ceci. Cela peut vous aider et vous vous passerez de l’installation d’un logiciel tiers.
    • Si vous n’êtes pas contre l’installation d’un logiciel tiers, il vous faudra PuTTY.
  • Si vous ne savez pas faire via votre Windows ou en cas de difficulté, il faudra prévoir de formater votre carte SD au format FAT32. Divers logiciels et solutions sont disponibles.
  • Pour « graver » (transférer) l’image du système d’exploitation Raspbian dans votre carte mémoire, il vous faudra l’aide du logiciel Win32DiskImger.

    Win32DiskImager

     

     

     

     

    • Dans le champs « Fichier Image » vous recherchez le fichier .img correspondant à Raspbian
    • Dans le champs « Périphérique » vous sélectionnez la lettre correspondante à votre carte SD fraichement formaté.
    • Hash (facultatif pour vérifier les éventuels erreurs). Se référer à la clé donné sur le lien de téléchargement de Raspbian.
    • Cliquer sur « Écrire« .
    • Un message de confirmation s’affiche > « Yes« .
    • 30 secondes après, votre OS se trouve pré-installé sur votre carte SD.
    • Fermer le logiciel.
  • Avant de crier « Victoire » on va faire quelque chose de simple. Tellement simple que l’on se demande pourquoi ce n’est pas fait automatiquement. Ne me demandez pas le pourquoi du comment ni les explications mais…
    • A la racine de votre carte mémoire fraichement crée, ajouter un simple fichier, vide et sans extension qui portera le nom de : ssh
  • MAIS ce n’est pas tout ! Tant que la carte se trouve dans votre PC, nous allons en profiter pour éditer un fichier (cmdline.txt) comme suit :
    • AJOUTER (et pas de nouvelle ligne !!) à la suite de la première ligne, une adresse IP. Ecrivez : ip=169.254.25.25 ceci est un exemple d’adresse.
    • Enregistrez votre modification.
    • Pensez à bien éjecter votre carte proprement (via la barre des tâches) ! C’est important, la perte du contenu de votre carte ça n’arrive pas qu’aux autres !!!

1.0.3/ Synthèse :

  1. Téléchargez et dézipper Raspbian
  2. Insérer votre carte SD puis formatez-là au format FAT32
  3. Gravez l’image (fichier .img) via le logiciel Win32DiskImager.
  4. Ajouter un fichier vide sans extension nommé : ssh
  5. Ajoute une adresse IP pour la future connection Ethernet

1.1/ Près pour le premier démarrage de votre RPI ?

Nota : votre RPI sera relié à votre box via le câble Ethernet. C’est le plus simple.

1.1.1/ Ce qu’il faut :

Dans l’ordre (oui parceque il y a un ordre !) il faut insérer dans votre boitier :

  1. Votre carte mémoire
  2. Le câble HDMI (optionnel puisque dans mon cas je vais faire sans).
  3. Câble ethernet relié à votre box internet !
  4. Alimentation électrique.

Là votre RPI démarre automatiquement. Évidement vous ne voyez rien sans écran mais pas de panique ^^

1.1.2/ Joindre votre RPI…

Ce n’est pas le tout mais il faut pouvoir joindre votre boitier si on veut communiquer avec lui. Il faut donc le trouver sur votre réseau.

Là je vous renvoie vers la documentation de votre box afin de pouvoir afficher les différent éléments raccordés à votre box et obtenir les information sur ceux-ci, notement ce qui va nous intéresser pour la suite, l’adresse IP.

Sur ma Freebox v6 voici comment j’ai procédé :

  1. Ouvrir la page internet : http://mafreebox.freebox.fr/login.php
    Saisissez votre login + mot de pass
  2. Cliquez sur « Périphériques réseaux« .
  3. Vous devriez voir apparaître un élément au nom équivoque (rapeberry pi ou osmc)…
    [su_service title= »Remarque » icon= »icon: lightbulb-o » icon_color= »#3c3c3c » class= »su-service-title_remarque »]> Il faut parfois beaucoup de temps (3-5 minutes) avant de voir apparaître votre RPI dans la liste. Soyez P A T I E N T…[/su_service]
  4. Faites un double clic pour ouvrir les propriétés de votre RPI
    1. Profitez-en peut-être pour lui donner un nom plus sympa comme je l’ai fait (onglet « Noms« ). C’est juste un surnom pour votre Freebox et ça n’influe en rien sur la suite du tutoriel
    2. Dans l’onglet « Connectivité«  on va simplement relever l’information concernant l’adresse IP. Notez-là quelque part.
  5. Pourquoi ne pas en profiter pour attribuer une adresse IP Fixe ?! Certains le conseil, d’autres pas. Pour ci-faire, retournez sur la page des « Périphériques réseau » et faites un clic droit > Configurer un bail DHCP.
    Renseignez l’adresse du type 192.168.0.x ou x est un numéro de votre choix. Possibilité de mettre un commentaire et puis Sauvegarder.

Connexion à votre Freebox locale

 

Fonctions de votre Freebox

 

Liste des éléments connectés à votre Freebox

Ne soyez pas pressé lors du tout premier raccordement électrique (démarrage) car il peut se passer plusieurs longues minutes avant que votre RPI n’apparaissent en ligne !!!

1.1.3/ … avec PuTTY

> Je ne m’attarde pas sur des solutions alternatives natives induitent dans Windows car… ce n’est pas le cas de mon vieux Windows Seven de l’âge de pierre lol Mais pour les autres, une information existe dans le chapitre 1.0.2 (point 3).

Dans la fenêtre de connexion, rien de plus simple : dans le champs « Host Name (or IP adress) » vous aurez compris qu’il suffit d’indiquer l’adresse IP de votre RPI. Rien d’autre à modifier !

> Mon petit conseil : Sauvegarder vos réglages en donnant tout simplement un nom dans le champs « Saved Sessions« . Cela vous évitera de retaper l’adresse IP.

Au premier démarrage, une fenêtre d’avertissement s’affiche. J’avoue que c’est abstrait pour moi aussi… il suffit de cliquer sur « Yes« .
Elle n’apparait qu’une seule fois je crois.

Premier lancement avec PuTTY

La fenêtre (Prompt) de PuTTY s’affiche sur un beau fond noir pour reposer vos yeux ^^

Prompt avec PuTTY

Le login par défaut est : pi
Le mot de passe par défaut est… : raspberry
> A noter que les mots de passe dans un environnement Linux ne s’affichent (normalement) jamais. Vous ne savez pas ce que vous tapez ni si vous avez déjà écrit quelque chose…
>> Lors du premier démarrage, il y a un peu d’attente dû à la mise à jour du cache APT…

Vous voilà dans votre RPI, BRAVO !!!

Et comme nous sommes à l’intérieur du système, nous allons en profiter tout de suite pour mettre à jour ce dernier.
Saisissez simplement la commande : sudo apt-get update
En fait à cette étape, on va uniquement préparer les fichiers…

Update 1/2

Mais comme ce n’est jamais vraiment très simple, pour terminer la mise à jour il faut continuer en saisissant la commande : sudo apt-get dist-upgrade

Toujours dans le Prompt, une question nous demande de continuer car on nous informe que l’opération sera réalisée. Répondre par « Y » et appuyer sur la touche « Entrer ».

Le processus peut prendre du temps… Beaucoup de temps !

A la fin, il faut redémarrer. Nous allons le faire proprement en tapant la commande : sudo reboot

Votre RPI va se relancer et vous perdez instantanément la connection avec PuTTY. Il suffira d’attendre quelques secondes pour se reconnecter.

1.2/ Connection au PC via Ethernet

Ce qu’il faut savoir c’est que votre RPI dispose en amont d’un adresse IP déjà configuré précédemment dans le fichier cmdline.txt ce qui va nous permettre de le joindre facilement. Cette adresse IP est différente de celle attribuée par votre routeur (box) internet en Wifi par exemple.
L’utilisation du logiciel PuTTY est nécessaire.

  • Dans le champs « Hôte » vous saisissez l’adresse IP donnée précédemment 169.255.25.25
  • Allez cherchez à présent l’option SSH et plus précisément l’option « X11 » . Il faudra cocher la première case.
  • Mon conseil : donnez un nom à votre configuration actuelle afin de la lancer rapidement sans avoir à saisir l’adresse IP ni l’option X11 !

A partir de là, vous devez avoir accès à la console de votre RPI avec comme login par défaut : pi et comme mot de passe par défaut : raspberry

Lien d’origine de l’astuce.

1.3/ Le WiFi

1.3.1/ Le matériel

C’est bien beau tout ça mais dans ma future configuration, mon boitier RPI ne sera pas relié à la box directement ! Hors il a besoin d’une connection à internet. La solution tout simple : une carte (dongle) WiFi ! Il existe diverses variantes et possibilités, perso j’ai choisi une clé en USB (13€) comme ça, pas de bidouillage à ce niveau !

Une fois votre dongle (clé wifi USB) branché, ne déconnectez pas votre câble Ethernet tout de suite !! Il faut configurer un peu ce nouveau matériel.

1.3.2/ Installation (drivers)

Fonctionne pas depuis Juillet 2019 (Raspbian kernel 4.19).
Si distribution de Raspbian plus ancienne, se référer à la solution xxx

  • Etre identifié comme ROOT (Voir la solution donnée plus loin pour modifier le mot de passe par défaut de l’utilisateur Root).
    su root
  • Saisissez le mot de passe associé au compte ROOT
  • Modification du fichier /boot/config.txt à la volée.
    cd && sed -i ‘$a \\nkernel=vmlinuz-3.10-3-rpi\ninitramfs initrd.img-3.10-3-rpi followkernel’ /boot/config.txt
  • On installe les utilitaires GIT et DKMS.
    apt-get install git -y && apt install dkms -y
  • On Installe des headers kernels ainsi que les dépendances associées.
    apt-get install linux-image-rpi-rpfv linux-headers-rpi-rpfv raspberrypi-kernel-headers dkms build-essential bc -y
  • On passe en paramètres certaines données dont  l’URL du dépot qui nous convient, le nom du répertoire (typiqyement la fin de l’url), le nom du driver ainsi que sa version.
    SRC_DEPOSIT=https://github.com/abperiasamy/rtl8812AU_8821AU_linux && SRC_NAME=rtl8812AU_8821AU_linux && DRV_NAME=rtl8812AU && DRV_VERSION=4.3.14
    On clone le dépot qui nous convient.
    git clone ${SRC_DEPOSIT}
  • On déplace le répertoire précédemment téléchargé et on en profite pour formater le nom du dit répertoire.
    mv /root/${SRC_NAME} /usr/src/${DRV_NAME}-${DRV_VERSION}
  • On modifie le contenu du fichier makefile (précédement téléchargé).
    Vous pouvez le faire aussi via WinSCP. Chemin d’accès : /usr/src/${DRV_NAME}-${DRV_VERSION}/Makefile
    On se place dans le répertoire de travail puis on édite le fichier à la volée pour construire et assembler.
    cd /usr/src/${DRV_NAME}-${DRV_VERSION} && sed -i ‘s/CONFIG_PLATFORM_I386_PC = y/CONFIG_PLATFORM_I386_PC = n/g’ Makefile && sed -i ‘s/CONFIG_PLATFORM_ARM_RPI = n/CONFIG_PLATFORM_ARM_RPI = y/g’ Makefile && sed -i ‘s/CONFIG_POWER_SAVING = y/CONFIG_POWER_SAVING = n/g’ Makefile && make clean && make
  • On quitte le répertoire courant pour revenir dans le répertoire d’origine et on incorpore encore quelques modifications.
    cd && dkms add -m ${DRV_NAME} -v ${DRV_VERSION} && dkms build -m ${DRV_NAME} -v ${DRV_VERSION} && dkms install -m ${DRV_NAME} -v ${DRV_VERSION}
  • Il ne reste plus qu’à redémarrer votre RPI.
    reboot
  • FIN de l’installation des drivers !

Extra : pour désinstaller :

sudo dkms remove -m ${DRV_NAME} -v ${DRV_VERSION} --all

Sources : Lien Lien Lien Lien Lien Lien Lien Lien Lien

Peut-être une solution ici via ça. Ou encore .

 

 

1.3.3/ Configuration

Astuce : Vous pouvez éditer les fichiers qui suivent à l’aide de WinSCP et du compte root.

 

  • Connaître le nom du réseau WiFi (SSID)

Astuce : Pour vous aider, une commande qui va bien : sudo iwlist wlan0 scan | grep ESSID

 

  • Editer le fichier de configuration
    • sudo nano /etc/wpa_supplicant/wpa_supplicant.conf
  • Rajouter et adaptez ceci :

network={
ssid= »Votre_ESSID« 
psk= »Le_mot_de_passe_de_votre_point_d’accès« 
}

  • Pour enregistrer faites : <CRTL> + <O> puis appuyez sur la touche <Entrer>
  • Pour quittez faites <CTRL> + <X>

 

  • Editer le fichier de configuration
    • sudo nano /etc/network/interfaces

Rajouter ceci :

auto lo
iface lo inet loopback

auto eth0
iface eth0 inet dhcp

allow-hotplug wlan0
auto wlan0
iface wlan0 inet dhcp
wpa-conf /etc/wpa_supplicant/wpa_supplicant.conf

  • Pour enregistrer faites : <CRTL> + <O> puis appuyez sur la touche <Entrer>
  • Pour quittez faites <CTRL> + <X>

 

  • On arrête bien gentiment son Raspberry
    • sudo halt

 

  • On va débrancher son câble Ethernet et vérifier que la clé USB est bien mise en place.
  • On débranche/rebranche l’alimentation éléctrique du Raspberry pour redémarrer. Si tout va bien la suite devrait aller tout seul.

 

  • Via la Freebox, on doit voir le Raspberry (WiFi) connecté
  • Attribution d’une IP fixe via votre box, baux DHCP fixes. Exemple : 192.168.0.28 (Wifi)

2/ Phase 2 : Bricolage électronique

Bon là ça dépend de vos facultés manuelles avant tout.
Soyez patient, précis.
Le sens de la bande de LEDs est important. il faut toujours suivre le même sens (flèche sur la bande). Peux importe votre point de départ (le logiciel de configuration permet d’ajuster).
Les soudures sont essentielles. Appliquez-vous et travaillez à plat. Ne faites pas comme moi lol

Matériel :

  • Ruban à LEDs WS2801 x2
  • Fils électrique souple 22AWG
  • Gaine thermorétractable
  • Cavaliers pour broches PCB 2.54mm
  • Alimentation 5v conséquente
  • Splitter HDMI
  • Convertisseur HDMI vers RCA
  • Grabber USB chipset UTV007
  • Câble HDMI x2
  • Câble RCA mâle-mâle
  • HUB USB (optionnel mais pratique)
  • Fils électrique gainé RGB

Vous apportez vos outils :

  • Fer à souder + étain
  • Petite pince
  • Paire de ciseaux
  • Ruban adhésif

3/ Configuration

3.1/ Via son PC

HyperCon

Une aide en Français via ce lien pour la configuration. Cette étape est propre à chaque installation et en fonction de vos matériels (LEDs Strips, Splitter, Grabber USB) les réglages diffèrent vraiment. J’ai personnellement mis plusieurs heures pour réussi à obtenir un effet qui me convienne et j’ai dû modifier nombre de paramètres par défauts.

Le fonctionnement sommaire est expliqué en Anglais sur ce lien. Mais je vous recommande la lecture en Anglais du wiki assez bien fait par les développeurs du projet Hyperion.

Pour la calibration, vous allez avoir besoin de quelques mires pour vous aider.
– Quelques couleurs statiques ici
– Quelques animations ici

J’avais surtout un gros problème de clignotement de mes leds. le système n’était pas précis ni stable. Via le logiciel HyperCon (interphase graphique) j’ai pu lire dans le fichier de LOG que j’avais des erreurs V4L2GRABBER ERROR: Frame too small. La solution : changer mon ancien grabber (chipset STK1160) par le bon chipset UTV007. Source: ce sujet.

3.2/ Via son smartphone

https://play.google.com/store/apps/details?id=nl.hyperion.hyperionfree

 

4/ Astuces

4.1/ Utilisateur Root

  • Utilisateur ROOT
    • sudo passwd root
      • Saisir un mot de passe (il n’apparait pas à l’écran)
      • Confirmer le mot de passe (il n’apparait toujours pas à l’écran).
    • su root
      • Permet de changer d’utilisateur afin d’obtenir les droits suffiants
    • nano /etc/ssh/sshd_config
      • Trouver la ligne : #PermitRootLogin without-password
      • Ajouter en dessous, la ligne suivante : PermitRootLogin yes
      • Enregistrer en appuyant sur <CTRL> + <O>
      • Valider en appuyant sur la touche <Entrer>
      • Sortir en appuyant sur <CTRL> + <X>
    • Redémarrer le service avec la commande : /etc/init.d/ssh restart
      • Il peut vous être demandé de saisir le mot de passe de l’utilisateur root.
    • Fin

Lien ici.

4.2/ Sauvegarder votre carde mémoire, OS

Lien ici.

4.3/ Paramètres locaux

  • Paramétrage (Compte, heure, clavier…)
    • sudo raspi-config
      Astuces :
      Clavier <espace> pour sélectionner (cocher) et <Entrer> pour valider (OK).
  • Reboot
  • Eteindre sudo halt
  • Mise à jour du système Raspbian (avec un reboot automatique à la fin).
    • sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade -y && sudo reboot
      Astuce :
      On peut aussi y parvenir via le menu sudo raspi-config (choix 8)
  •  

4.10/ Connection RPI (Ethernet) sur PC (WiFi)

Parce qu’il est plus compliqué qu’il n’y parait de partager internet depuis sa prise Ethernet via son PC connecté lui-même enWiFi, je vous donne l’explication qui à fonctionnée chez moi.
Lisez ceci.
Mais impossible de reproduire l’exploit…

4.11/ HUB USB

Le HUB USB me sert tout simplement de concentrateur USB et d’alimentation pour le RPI + Splitter + Convertisseur. Et puis ça ne me fait qu’une seule prise à gérer. Même le dongle WiFi se trouve sur le HUB. Pratique.

Attention à ce que la puissance fournie pour le RPI soit suffisante car sinon vous aurez des problèmes d’alimentation, notement pour le wifi qui ne sera pas stable !

4.12 /Futur

  • Peut-être passer à un ruban avec plus de Leds… Mais utilisation d’un Ardunio ! Source : ici.
  • Utiliser la télécommande (CEC) pour activer/désactiver Hyperion. Source : ici surtout les commentaires !
    • Hack intéressant ici.
  • Ajouter les lampes HUE !
    Source de départ : ici et puis le wiki ou encore comment créer un nouvel user pour le pont HUE ici.
    • Sujet complet ici.
  • Fairede l’Ambilight sans fils ici.
  • Revoir de fonte en comble le système en passant par un RPI Zero et autres Leds Strips. Source : ici.

4.13/ Perte Wifi intempestif

Solution A

  • Changer de transformateur électrique ! Peux-être observez-vous ce petit éclaire en haut à droite à l’écran au démarrage de votre RPI. C’est le signe d’une sous-alimention électrique.
    Perso j’utiliser bêtement une prise USB pour en récupérer le courant ça ne suffisait pas. En mettant un vrai transformateur électrique dédié et en mettant la clé USB WiFi directement sur le Raspberry, tout est rentré dans l’ordre !

Solution B

Solution C

  • Lien ici pour installer les outils Wifi
  • Lien ici pour la commande

4.14/ Connexion impossible

Plusieurs sources possible : adresse IP, Serveur, Routeur, Raspberry…
Mais il y a aussi parfois des petits tweaks qui peuvent aider dont celui là qui consiste à modifier la configuration à chaud de son Raspberry.

4.15/ Image « arc en ciel » à l’arrêt

Lorsque tout est éteint (TV, Ampli, Sources) j’ai une image du type « Arc en ciel » qui est envoyé au Raspberry et du coup j’ai cet effet très moche autour de ma télé à l’arrêt.

Capture de ce que voit Hyperion à l’arrêt.

Sujet : ici.

4.16/ Archives perso pour OSMC (Obsolète)

4.16.1/ Configuration [OBSOLETE – OSMC]

Nous allons déjà nous connecter à l’aide de PuTTY.

> Des messages d’erreurs peuvent apparaître. N’en tenez pas compte lol

Envoyer la commande : connmanctl

Envoyer la commande : technologies
Une  liste s’affiche et on trouve le WiFi. Normalement il est à « False« . Il faut  l’activer. Sinon, ne tenez pas compte de la commande qui suit.

Envoyer la commande : enable wifi

Envoyer la commande : scan wifi
Attendre quelques secondes la fin du scan

Envoyer la commande : agent on

Envoyer la commande : services
Vous devriez voir apparaître la liste de tous les réseaux (WiFi entre autre) captés.

Liste des réseaux

 

Repérer le réseau WiFi auquel vous souhaitez vous connecter.

> Mon astuce : faites un double clic sur la partie correspondante du style : wifi_123456789_123abc456_manage_psk car c’est cette phrase qui nous intéresse.

Envoyer la commande : connect [clic-droit]
Parfois, la commande a du mal à être exécutée correctement, en insistant ça fonctionne… Allez savoir pourquoi…

Vous deviez voir apparaître la ligne suivante :
Passphrase ? Passphrase = [ Type=psk, Requirement=mandatory ]
C’est tout simplement le moment d’écrire votre mot de passe pour vous connecter au WiFi.
Attendre quelques secondes.

Si tout s’est bien passé, vous pouvez quitter cette fonction connmanctl en tapant : quit

Cette opération de configuration n’est à faire qu’une seule fois.

Pour plus d’informations (sources) consulter les liens : lien 1, lien 2

4.16.2/ Nouvelle adresse IP (WiFi)

Hey oui ! Si on change de méthode de connection au réseau, on change aussi d’adresse IP. Et pour connaître quelle nouvelle adresse IP notre RPI possède désormais avec son WiFi encore tout chaud, il faut de nouveau consulter les informations de sa box et voir que l’on a bien un nouvel élément du nom (par défaut) de osmc qui est apparu. Notez la nouvelle adresse quelque part.

> Profitez-en pour le renommer votre RPI dans votre box^^

A présent, votre RPI n’a plus besoin de ce fil à la patte qu’est la connection Ethernet. Vous voilà plus facilement mobile et il est temps de passer à quelque chose de plus… récréatif !

4.16.3/ Passage à la télé

Il est temps de passer à quelque chose de plus divertissant en apprivoisant quelque peu votre mini ordinateur.
Pour peu que votre télévision soit récente (2008+), elle est pourvue d’un système couplage avec d’autres matériels (ampli home-cinéma, box etc) appelé généralement : HDMI-CEC

Samsung call it « Anynet+ » LG= »SimpLink », Philips= »EasyLink », Sony= »BRAVIA Link », Panasonic= »VIERA Link » or « EZ Link »

Avantage : pas besoin de clavier/souris pour naviguer dans le menu de votre Raspberry.
Dans le cas contraire, vous devrez investir dans un clavier + souris ou bien une télécommande dédiée.

4.16.4/ Premier démarrage en mode graphique

Lors de ce premier démarrage en mode graphique, OSMC va vous poser un certain nombre de questions pour configurer tout simplement votre RPI correctement (nom, fuseau horaire, langue etc). Renseignez tout simplement ces champs.

SSH

Ne touchez pas à l’option par défaut qui configure la fonction SSH à Enable car sinon pour la suite cela va complexifier les choses… donc on ne touche pas à cette option par défaut lors du premier démarrage ^^

Baladez-vous

Vous pouvez maintenant profiter de votre nouveau media center… mais… il est vide !
ne comptez pas sur moi pour vous guider à la remplir. Ce n’est pas le but de ce tutoriel et ce n’est pas ma motivation non plus.

A partir de là, la préparation du RPI est TERMINEE !

Certaines étapes auraient pu être réalisées en mode graphique. Je pense par exemple à la partie concernant le WiFi. Certes, mais c’était moins drôle ^^

4.17/Archives perso pour l’installation des drivers post Raspbian v4.19

Ne fonctionne pas depuis Juillet 2019 (Pas depuis Raspbian v4.19)

Voici la liste des commandes concernant MON propre matériel à savoir qu’il a un chipset Realtek RTL8811AU
La solution fait apparaître l’utilisation d’un chispset 8812 mais… ca fonctionne très bien quand même pour moi.

sudo apt-get install bc git -y
sudo wget « https://raw.githubusercontent.com/notro/rpi-source/master/rpi-source » -O /usr/bin/rpi-source
sudo chmod 755 /usr/bin/rpi-source
rpi-source
git clone « https://github.com/gnab/rtl8812au »
cd rtl8812au
sed -i ‘s/CONFIG_PLATFORM_I386_PC = y/CONFIG_PLATFORM_I386_PC = n/g’ Makefile
sed -i ‘s/CONFIG_PLATFORM_ARM_RPI = n/CONFIG_PLATFORM_ARM_RPI = y/g’ Makefile
make
sudo cp 8812au.ko /lib/modules/`uname -r`/kernel/drivers/net/wireless
sudo depmod -a
sudo modprobe 8812au
ifconfig

Astuce : voici la commande mise bout à bout pour une exécution fluide (il s’agit d’une très longue ligne) :

sudo apt-get install bc git -y && sudo wget « https://raw.githubusercontent.com/notro/rpi-source/master/rpi-source » -O /usr/bin/rpi-source && sudo chmod 755 /usr/bin/rpi-source && rpi-source && git clone « https://github.com/gnab/rtl8812au » && cd rtl8812au && sed -i ‘s/CONFIG_PLATFORM_I386_PC = y/CONFIG_PLATFORM_I386_PC = n/g’ Makefile && sed -i ‘s/CONFIG_PLATFORM_ARM_RPI = n/CONFIG_PLATFORM_ARM_RPI = y/g’ Makefile && make && sudo cp 8812au.ko /lib/modules/`uname -r`/kernel/drivers/net/wireless && sudo depmod -a && sudo modprobe 8812au && ifconfig

A ce moment, vous devriez voir apparaître une ligne du style :
wlan0: flags=4099<UP,BROADCAST,MULTICAST> mtu 1500
Si c’est le cas, c’est gagné, sinon, Ca se complique !

Source : ici.

 

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